Avant-propos sur
Ancrés dans notre histoire et notre culture, les boissons alcoolisées sont synonymes de partage et de convivialité, mais elles sont également des produits dont la consommation peut présenter des risques et doit donc être maitrisée.
Avant-propos
Une information complète et validée scientifiquement sur la nature de ces risques, immédiats ou à long terme, constitue la clé d’un comportement de consommation responsable.
De fait, la consommation de boissons alcoolisées constitue un choix adulte, personnel. A contrario, la non-consommation d’alcool est un choix également respectable qui ne nécessite pas d’être justifié. D’autre part, si de nombreuses études, largement médiatisées, indiquent qu’une consommation faible à modérée d’alcool diminue le risque de maladies cardiovasculaires à certains âges et dans certaines conditions, aucun motif de santé ne peut justifier d’inciter un non-consommateur à consommer des boissons alcoolisées.
Relation à l’alcool
Dans tous les cas, les consommateurs réguliers de boissons alcoolisées doivent être attentifs à leur relation à l’alcool et ne jamais hésiter à solliciter une aide auprès de structures spécialisées en alcoologie ou addictologie, ou le service d’aide à distance alcool-info-service, disponible pour répondre aux questions et orienter les personnes en difficulté.
La consommation responsable en bref
La consommation responsable se fonde en premier lieu sur des critères quantitatifs, les repères de consommation à moindre risque : deux verres par jour au maximum et au moins deux jours sans alcool dans la semaine.
L’environnement et la prise en compte de situations présentant un risque particulier participent également de la consommation responsable. Ainsi la conduite de véhicules, la manipulation de machines dangereuses, la grossesse, l’allaitement ou la prise de traitements médicamenteux nécessitent le plus souvent de s’abstenir de toute consommation d’alcool.
De façon générale, la connaissance de soi, de son état de santé, de ses réactions, le cas échéant de ses antécédents familiaux, facilite une consommation responsable. De même, un contexte de consommation caractérisé par la convivialité ou le plaisir de la dégustation est davantage propice à la consommation responsable qu’une consommation solitaire ou visant la recherche de l’ivresse.
35 ans de prévention du risque alcool
La consommation responsable se fonde en premier lieu sur des critères quantitatifs, les repères de consommation à moindre risque : deux verres par jour au maximum et au moins deux jours sans alcool dans la semaine.